L’Europe en marche

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L’Union Européenne, jeune ado, voire bébé, de l’histoire du monde, s’est montrée assez solide pour résister, contre l’attente des sceptiques, aux deux énormes coups de butoir de la décennie : la crise économique sans précédent de 2008/2009 et son corollaire grec, puis la crise migratoire également sans précédent. Elle s’apprête, quelle que soit l’issue du référendum britannique, à vivre une blessure Outre-Manche capable de la secouer violemment à court terme comme de la renforcer à moyen terme.

Mais dans tous les cas l’Union a besoin d’un second souffle. Ce second souffle est magistralement dessiné dans l’extrait ci-après d’un entretien accordé par Sarkozy au LENA. Le LENA (Leading European Newspaper Alliance) est un groupement de 7 journaux européens parmi les plus conséquents : La Repubblica, El Pais, Die Welt, Le Soir, La Tribune de Genève, Tages-Anzeiger, Le Figaro.

Extrait des déclarations de Sarkozy le 16 juin 2016:   « Le nouveau traité que je propose doit prendre en compte l’existence de deux Europe. Une Europe de l’euro et une Europe des Vingt-Huit. L’Europe de l’euro que je souhaite doit avoir un directeur du Trésor, un Fonds monétaire européen et un gouvernement de l’Europe qui puisse aller vers plus d’intégration, de solidarité et une politique économique commune. Celle des Vingt-Huit doit évoluer vers moins de compétences communes. Il faut se concentrer sur la recherche, l’agriculture, la concurrence, l’énergie… Le reste doit revenir aux États. L’Europe des Vingt-Huit, c’est une même civilisation, un même marché, mais moins de réglementations. »

L’Europe en marche, c’est en effet l’Europe de l’Eurolande. Plus resserrée, plus intégrée, plus sûre d’elle-même. Et davantage capable de progresser en interne en se protégeant de l’externe. Libre aux autres, les attentistes, les passéistes, les insincères, les timides, de se contenter aujourd’hui d’une alliance économique étroite. Et d’entrer un jour dans l’Europe en marche s’ils deviennent résolus et que cette dernière les accepte à l’unanimité.

 

48 Commentaires

  1. Yaakov Rotil

    Rien qu’en voyant le titre, je savais que c’était un article de notre ami Impat. ^^

    C’est un article de foi, et à chacun ses convictions.

    Je ne partage pas son optimisme. Puissé-je me tromper !

  2. Article de foi ? Toujours celle du charbonnier ? En Sarko, de surcroit ?

    J’ai beau creuser ; aucun souvenir d’un président d’Etat-Nation peu ou prou comparable à la France ayant retrouvé cette situation après avoir été désavoué par les électeurs. Sauf, peut-être, Berlusconi ; et encore…

    Retrouver l’énergumène en Chef d’Etat en 2017, ne rien avoir trouvé de mieux parmi 65 millions de citoyens, serait un terrible aveu de nullité non seulement pour la classe politique française mais pour le pays dans son ensemble.

    Le choix en cette occurrence serait désormais entre république bananière et Khalifat ; le guerre civile ne serait pas loin. Bon courage.

  3. Yaakov Rotil

    Pour une fois que je suis d’accord avec notre roturier… ^^

  4. … « ne rien avoir trouvé de mieux »…
    Une seule explication : il doit être le meilleur. Ou alors Fillon peut-être, qui a été à bonne école. 🙂

  5. Bibi

    L’UE en marche? Faudrait bien qu’elle s’en mette! À commencer par se mettre au service des ses citoyens.

  6. Yaakov Rotil

    Sarko, le meilleur ?

    C’est du second degré, j’imagine? Bisous à Assad, puis à Khadafi, tous deux reçus en grande pompe, juste deux exemples parmi une dizaine que je pourrais trouver….

    Sarko fut, à mon sens, un des pires parmi les pires, faut dire qu’entre tous ceux-là mon coeur balance… pour l’attribution du prix de la plus grande nullité.

  7. QuadPater

    Sarko a été meilleur président que VGE, Chirac et Mitterrand, et moins bon que de Gaulle et Pompon. Moi je le mets dans la moyenne. 3e sur 6* c’est pas mal non ?

    ————————————————
    * oui, je sais ce que vous allez me dire. Qu’en 2012 et gnagnagna.. Mais je ne peux pas !

  8. Quad, Pompidou a très bien « géré » la France. Mais il n’a fait que gérer, il a peu amélioré le pays par des réformes. Lesquelles, il est vrai, étaient à l’époque moins urgemment nécessaires qu’elles ne sont aujourd’hui. Et il a fait, de mon point de vue, une faute : laisser entrer en Europe le Cheval de Troie anglais.
    De Gaulle, lui, est hors concours.

  9. « Mais dans tous les cas l’Union a besoin d’un second souffle. »
    Je suis d’accord : je plaide pour l’Union et je plaide pour un second souffle, sur la base de « less is more », moins de réglementations, moins de subventions.
    Sauf que le projet dessiné par Sarko m’inquiète un peu : il a trouvé moyen de mettre l’agriculture dans le lot … (40 % du budget)

  10. Nathalie MP, « se concentrer » sur l’agriculture ne signifie pas qu’il faut en maintenir le budget … Mais, en effet, il devra s’expliquer sur ce point.

  11. Patrick

    Amis juifs, êtes-vous au courant de ceci ?
    Arrêté du 26 mai 2016 relatif au regroupement de sépultures européennes en Algérie.
    Je relève au passage qu’est concerné un cimetière chrétien, et beaucoup de cimetières juifs !

  12. QuadPater

    Impat, DG hors concours si vous voulez mais pas parfait.
    Je sais, cela vous choque. 😉

  13. Mario

    Au moins un qui parle enfin du devenir de l’Europe. Quant à Sarkozy , il me fait moins peur que ce mou de Juppé et ses performances face aux autres nations européennes au même moment sont plutot à son avantage.Et je ne vous parle pas de la bande à neuneu qui nous gouverne .
    Manquerait plus que Sarkozy redevienne président et qu’il se paie un nouveau crack…….

  14. roturier

    Bon, puisqu’on a évoqué De Gaulle en l’affublant de « hors concours ».

    Rappelons tout de même pourquoi il le fut : pour avoir dirigé la France en temps de guerre, et deux fois ; et avoir gagné la guerre la première, la paix la seconde. J’abrège, nous en connaissons l’Histoire.

    En temps de paix il n’aurait probablement pas fait mieux que d’autres ; le fait étant que la paix a fini par lui coûter la Présidence, les deux fois.

    Bref, nous avons de dirigeants de temps de paix ; d’où une certaine médiocrité ; heureusement (pour l’instant…).

  15. Bibi

    Oui Patrick, je suis au courant. C’est comme en Pologne, Ukraine, où des immeubles ont été construits sur des cimetières juifs, comme la route jordanienne Jérusalem-Jéricho pavée de pierres tombales juives…

  16. roturier

    Problème quelconque, Patrick 23 juin 2016 à 17 h 14 min, avec cette histoire de regroupement de sépultures ?

    Je n’en vois aucun, bien au contraire.
    Il existe en Algérie des innombrables cimetières « européens » (dont juifs), souvent petits et en zones rurales, alors que les descendants sont, par définition, loin, oublieux et incapables d’en assurer l’entretien et le respect.

    L’alternative au regroupement est la disparition à terme, si ce n’est déjà fait, de toute trace. Initiative à saluer.

  17. Roturier,… « L’alternative au regroupement est la disparition à terme »…
    Intéressante,cette phrase, si on l’applique aussi au sujet de ce fil de discussion. 🙂

  18. oypsilantis

    J’observe le Brexit avec grand plaisir. L’Angleterre, cette terre de liberté (critiquable il est vrai), a foutu un assez joli coup de pied dans le cul de la bonne grosse Europe, cette mémère ventripotente qui cherche à rassembler autour de ses jupons une progéniture aussi large que possible tout en se perdant en commérages et en lâchant des odeurs peu agréables. L’Europe est une vielle chose molle qui apparaît particulièrement molle à celui qui partage sa vie entre plusieurs pays de ce continent — un appendice asiatique, ne l’oublions pas. N’oublions pas non plus que l’Europe bureaucratique a été fondée par une France qui « pétait de trouille » face à l’Allemagne.

    Messieurs les Anglais, je vous aime. Vous représentez l’Europe libre ; tandis que la France représente l’Europe bureaucratique. Et entre les deux, mon cœur ne balance pas. God Save Your Gracious Queen.

  19. Brexit, Oy ? Vous parlez sans doute de la sortie peu glorieuse de l’Angleterre de l’Euro de foot ?
    Car pour l’instant il n’y en a pas d’autres et il n’y en aura peut-être pas.

    « Les Echos », pas un canard de ragots, titre ce matin : « Pourquoi le Brexit n’aura pas lieu » :
    http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-158470-pourquoi-le-brexit-naura-pas-lieu-2010735.php#xtor=EPR-3038-%5Bnl_ideesdebats%5D-20160629-%5BProv_%5D-1812157%402

    Perso je n’ai pas attendu ce texte pour me faire la réflexion que le referendum (chose interne à la GB, qui ne devrait pas forcément intéresser quiconque à l’extérieur et dont la valeur contraignante n’est pas certaine pour tous) n’est pas l’évènement déclencheur d’un Brexit ; c’est la signature d’un premier ministre britannique sur une demande de sortie conformément à l’article 50.

    L’actuel est en train de se cacher dans les buissons pour ne pas avoir à le faire ; on ignore qui sera son successeur ; mais je risque l’affirmation suivante : le PM qui signera la demande n’est pas encore né.
    A moins d’en trouver un suicidaire ; car il signerait surtout la dislocation du Royaume et son arrêt de mort politique ; et c’est son guignol qui passerait à la postérité, le peuple, souverain donc irresponsable et amnésique, ayant oublié son vote à peine sorti des urnes.

    La vérité étant que quantitativement la GB a voté le Brexit ; mais qualitativement c’est le contraire : Londres, le centre névralgique et poumon économique, a voté contre ; ainsi que les jeunes et massivement.

    Si la dislocation du royaume par la sortie de l’Ecosse n’est pas encore chose faite, la signature de l’article 50 la déclencherait.
    Et derrière il y a Belfast, l’Irlande du nord, ayant voté pour rester en Europe et dont les velléités, sinon d’indépendance, d’une union avec la République Irlandaise indépendante (Eire, membre de l’UE) enflent à vue d’œil.

    Achetez-vous un chapeau en chocolat, Oy ; car vous risquez de le manger.

  20. Roturier, je crains fort que vous n’ayez raison. Le Brexit n’est pas pour demain, et je ne m’en réjouis pas.

  21. roturier

    Franchement je suis indécis sur l’intérêt ou non du Brexit de ce côté-ci de la Manche (du manche ?…).
    En revanche, aucun doute sur la nocivité de l’incertitude et du flottement. On n’en avait pas besoin.

  22. … « aucun doute sur la nocivité de l’incertitude et du flottement »…
    Bien d’accord. Mais, heureusement, fluctuat nec mergitur. 🙂

  23. oypsilantis

    Roturier, « Les Echos » sont une excellente référence, j’en conviens, et je le lis volontiers en ligne. Ce que vous dites au sujet de l’Ecosse et de l’Eire est parfaitement juste. Toutefois Brexit effectif ou non, je suis heureux que le Royaume-Uni ait foutu un coup de pied dans le cul d’une Europe de plus en plus bureaucratique, de moins en moins libre. Le peuple anglais est un grand peuple, doué d’un instinct très sûr, héritier des plus vieilles traditions démocratiques du monde, et j’en passe. Les Français n’ont que le choix de l’Europe, les British ont une assise mondiale autrement plus vaste. Ces insulaires entre USA, Europe et Commonwealth swinguent, sont in and out, et c’est une richesse pour nous tous Européens, même si elle nous dérange. En attendant l’Espagne a éjecté l’affreux petit prétentieux Pablo Iglesias, ce qui est un bien.

  24. roturier

    Mais elle nous a laissé avec l’éponyme Julio, autre affreux petit prétentieux.

  25. roturier

    Puisqu’Impat s’avère être distingué latiniste : SE NON E VERO, E BENE TROVATO .

  26. Bibi

    Bof.
    Tout comme pour l’UE, beau projet. On verra ce que donnera la mise en œuvre.
    En attendant, les bourses reviennent à la normale, les banques ne sont pas en faillite, le ciel n’est pas tombé mais les prédictions avertissant l’apocalypse, elles, sont tombées.

    Ça laisse le temps aux prétentieux d’apprendre le latin.

  27. Roturier, « SE NON E VERO, E BENE TROVATO »…
    Très 21e siècle, ce latin ! 🙂

  28. roturier

    C’est du latin. Vérifiez. La version italienne n’est pas exactement la même.

  29. oypsilantis

    Je connais mal Julio Iglesias. Par contre, le petit merdeux de Podemos a (malheureusement) un prestigieux homonyme, celui d’un sacré bonhomme, le fondateur du PSOE et du grand syndicat socialiste UGT.

  30. roturier

    Cela n’a pas trainé, Oy.
    Boris Johnson, partisan tonitruant du Brexit et candidat « naturel » à la tête des « tories » à la place de Cameron, va, lui aussi, se cacher dans les buissons, refusant d’être le prochain premier ministre de la GB et en conséquence de signer l’article 50.

    En Anglais cela s’appelle « cold feet » ; en Français, avoir une trouille bleue.
    Personne ne touchera à la patate chaude de l’article 50 sauf un kamikaze politique.

    C’est l’exit du Brexit.

  31. Bibi

    J’adore l’intox!
    Comment dit-on « pieds froids » en Yiddish?

  32. roturier

    Kalté fiss

  33. Bibi

    Peut mieux faire.
    Celle qui a vraiment les pieds froids est la fillette de 13 ans assassinée ce matin.

  34. oypsilantis

    Roturier. Ne vous inquiétez pas. Les Anglais ne sont pas des impulsifs. Ce sont des discrets qui savent très bien mener leurs affaires. Ils savent reculer et se retirer pour mieux avancer — pensez à Wellington dans la Péninsule ibérique. Certes, il leur arrive de perdre mais c’est plutôt rare. Peu de peuples ont été aussi souvent vainqueurs. Par ailleurs, leur situation en léger décalage leur permet d’avoir un regard plus ample sur l’Europe, le Continent.

    En attendant, l’Espagne s’inquiète du Brexit qui donne des idées aux Ecossais, qui donnent des idées aux Catalans — la question catalane a été centrale au sein de la gauche (PSOE – Podemos) dans la dernière campagne législative. Par ailleurs, le Brexit remet sur le tapis une question récurrente : Gibraltar. Mais si la souveraineté britannique est remise en question à Gibraltar, les Espagnols se demandent à raison si les Marocains ne remettront pas en question leur souveraineté sur Ceuta et Melilla

  35. Comment ne pas voir un rapprochement entre les attitudes de Boris Johnson en 2016 et de Laurent Fabius en 2005 ?

    Mêmes discours démagogiques pendant la campagne.
    Mêmes mensonges : Johnson affirmant que les économies faites sur le budget de l’Union seraient affectées à la protection sociale britannique avant de se rétracter, Fabius affirmant que les chapitres 2 et 3 du traité constitutionnel aggraveraient le libéralisme européen alors qu’il savait que ces dispositions figuraient déjà dans les traités précédents.
    Même surprise devant un succès imprévu.
    Même conséquence désastreuse.
    Surtout, même absence de plan B.

    Ces similitudes sont frappantes.

  36. roturier

    Tôt ou tard Cameron aura un successeur ; probablement un Tory dès septembre ; ensuite, cela dépendra sans doute d’une élection dans laquelle Jeremy Corbyn du Labor n’est pas certain de gagner, ni d’ailleurs de participer, tant il sort discrédité de tout ça comme l’ensemble de la classe politique britannique (anglaise, surtout).

    MAIS le discours du prochain PM pour ne pas signer l’article 50 est déjà formulé : on ne signera tant qu’on n’aura pas négocié at arrêté les conditions.
    Or, ceci inverse le calendrier de l’article 50, stipulant qu’après sa signature on dispose de deux ans maxi pour négocier.

    Autrement dit, la GB ne signera que si elle obtient ce qu’elle veut ; autrement dit, jamais. CQFD.

  37. Probabilité de voir se dérouler ce scénario: au moins 60 %.

  38. oypsilantis

    Le Brexit doit tout d’abord être compris comme un rappel à l’ordre adressé par un pays européen à une Europe désorientée, un machin devenu informe et à la recherche d’une forme. Concernant l’Angleterre, je ne me fais pas de souci ; ce vieux peuple a un sens aigu de ses intérêts (contrairement à une France affairée à vouloir plaire à tout prix), il ne manque pas de courage et de détermination (voir son histoire) et saura retomber sur ses pieds après avoir fait un croche-pied à l’Europe et l’avoir amenée une fois encore à lui faire des concessions. Comme dirait Coluche : « Je me marre ». Et n’oublions pas que le Royaume-Uni a une assise mondiale.

  39. roturier

    On pourrait se pâmer devant telle ou telle qualité indéniable que l’on attribue aux britanniques vu leur Histoire.
    Sauf qu’en l’occurrence la preuve est faite qu’il n’y a pas plus de Churchill là-bas que De Gaulle ici.
    Et le croche-pied, ils l’ont fait à eux-mêmes comme de grands.

    Sauf erreur de ma part (que l’on m’explique laquelle) ils aborderont la négociation avec l’UE dans une position de faiblesse et désunion.
    Les profondes fissures internes réveillées à cette occasion pourraient se transformer en cassures sous la tension inhérente aux négociations et l’UE pourrait prendre un malin plaisir intéressé à dire « niet » à tout, ayant à cœur de démontrer qu’ils furent mieux dedans que dehors.

  40. oypsilantis

    Roturier. Vous avez peut-être raison et j’ai peut-être tort. Je suis probablement pris dans des visions churchillennes (churchillesques ?), entre Battle of Britain et Long Range Desert Group. Je sais pourtant que la résilience anglaise est assez extraordinaire et que ces vieux anglais provinciaux (l’électorat du Brexit dit-on) ont une vision du monde beaucoup plus aiguë que bien des peuples du Continent, une vision cultivée dans les clubs, dans certaines sociétés (maçonniques peut-être 😉 et j’en passe. Les Anglais continueront à vouloir le beurre et l’argent du beurre, et ils y parviendront. Comment leur en vouloir ? Comment ne pas nous reconnaître en eux, ou, tout au moins, comment ne pas les envier ? God Save the Queen.

  41. Bibi

    S’il n’y avaient pas eu ces 2 horribles attentats, j’aurais bien rigolé des prévisions sur-confiantes du prétentieux qui a oublié (ou n’a jamais eu connaissance) que depuis la destruction du Temple, la prophétie n’est sonnée qu’aux sots.

    BoJo a lui aussi reçu un couteau, heureusement virtuel, dans le dos, des siens.

  42. Ce soir on en est arrivé à 3 attentats et j’en ai marre de tous ces prétentieux, arrogants, sots et narcissiques!

  43. Bibi

    Hanna,
    Les pétainistes et autres collabos européens ne comprennent pas pourquoi nous ne collaborons pas avec leurs amis stipendiés orientaux. Pas moyen de leur faire comprendre que nous ne partageons pas, et n’avons jamais partagé, leurs velléités suicidaires.

  44. Passe un bon shabbat Bibi 🙂

  45. oypsilantis

    Hannah et Bibi,
    Je préfère pour l’heure ne rien dire sur ce qui se passe en Israël tant je suis dégouté non seulement par ces crimes mais par la manière dont ils sont rapportés (ton doucereux) dans nombre de médias européens. Ma confiance en l’Europe est en grande partie érodée par son attitude envers Israël ; je ne voulais pas le dire, c’est chose faite. Je vous souhaite un bon shabbat. Et courage. Quelques-uns vous aiment et aiment Israël.

  46. Bibi

    Shabbat Shalom Hanna.

    Oui Oy, il y a une minorité d’européens qui n’achète plus l’intox de l’Agence-Falastin-Propagande. Ne serait-ce que parce que c’est en totale contradiction avec le post-nationalisme officiel,et qui prône en même tamps la fin des nations sur un continent et l’avènement d’une nation inventée de toute pièces sur un autre, rien que pour effacer la nation Juive.
    Jusqu’ici, on a vu les effaceurs s’effacer.

  47. Il y a un homme politique courageux qui ose dénoncer l’assassinat de l’adolescente Hallel Yaffe Ariel : Claude Goasguen.

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